L'année 2017 et notre statut de fan des Carabins

[Mikk]

CONTENU SUPPRIMÉ

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[Bert]

1- Non, ma fidélité et mon engagement demeurent toujours totaux. Et les 11 autres détenteurs de billets de saison de mon groupe ont tous renouvelé sans hésitation.

2- Inquiétudes: la DL; le calendrier dont nous hériterons avec une ligue à 5 équipes

3- Tout, sauf les deux éléments du point 2

4- Des mesures concrètes seraient prises pour améliorer la parité?

[Mikk]

CONTENU SUPPRIMÉ

L'auteur a supprimé ce message.

[Darknight]

moi je me demande encore pourquoi les GGs et Carlton ne sont pas encore dans la division du RSEQ

AUS va être à 5 équipes
RSEQ serait à 7 équipes
OUA serait à 9 équipes
CAN WEST à 6 équipes

pour les GGs et Carlton sa serait une baisse de cout de voyagement en plus.

[Le cousin]

Pourquoi Ottawa et Carleton avaient-ils quitté le RSEQ après la saison 2000 ?

[MdM]

Darknight wrote

moi je me demande encore pourquoi les GGs et Carlton ne sont pas encore dans la division du RSEQ

AUS va être à 5 équipes
RSEQ serait à 7 équipes
OUA serait à 9 équipes
CAN WEST à 6 équipes

pour les GGs et Carlton sa serait une baisse de cout de voyagement en plus.

ajoute Kingston, comme dans le temps, et ca fait deux conférences de 8 équipes

[Sylven]

Darknight wrote

AUS va être à 5 équipes
RSEQ serait à 7 équipes
OUA serait à 9 équipes
CAN WEST à 6 équipes

Ça fait encore trois conférences avec un nombre impair d'équipes. Idéalement, il faudrait que trois équipes de l'Ontario transfèrent dans le RSEQ (Carleton, Ottawa et Queen's). Mais ça n'a pas l'air de les intéresser.

Visiblement, ils ont eux aussi peur de Laval et Montréal et préfèrent continuer d'accumuler des stats contre les York, Waterloo, Windsor et Toronto de ce monde plutôt que de s'améliorer en se frottant à de la vraie bonne opposition pendant toute la saison. Et on parle de grosses universités ici avec des moyens autrement plus grands que Bishop's. Dommage.

[Sylven]

Le cousin wrote

Pourquoi Ottawa et Carleton avaient-ils quitté le RSEQ après la saison 2000 ?

En fait, c'est Queen's et Ottawa qui avaient quitté la défunte OQIFC après la saison 2000. Carleton avait déjà abandonné son programme de football deux ans plus tôt. Je suppose que c'était pour rejoindre les autres universités ontariennes avec qui elles jugeaient avoir plus de rivalités. Ça laissait alors le QIFC (plus de O) avec seulement 4 équipes québécoises : Laval, McGill, Bishop's et Concordia.

[Wildtype]

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L'auteur a supprimé ce message.

[15 verges]

Mettez vous a leur place, c'est pas une question de padder les stats mais simplement de compétitionner au même niveau. Par ceci je ne veux pas dire que c'est mieux ou pire c'est juste plus égal avec les joueurs. Ici ils arrivent a 19-20 ans mais la bas c'est plus 18-19. lea frais sont vastement différents malgré les bourses car sa engendre une résidence et des repas. J'ai même entendu que certaines équipes faisait des redshirt de 2 ans afin qu'elles soient plus compétitives vs Quebec.

Pour Bishop je continu a croire que c'est une excllen53 décision de leur part. Ils vont compétitionner avec des équipes semblables en terme académique c'est à dire écoles de premier diplôme sans spécialités. Oui le transport sera plus élevé mais les jeunes vont en retirer plus que ce qu'ils vivaient ici les dernières années et contrairement a plusieurs je crois que leur recrutement sera meilleur car ils n'auront pas a ffronter les Montreal et Laval.

Les partisans des bleus et rouges rêvent d'une super division, sur papier c'est peut être intéressant mais en réalité sa affectera les autres équipes négativement et même si se sont des équipes fortes 2-3 saisons de finir en queue ou vers la queue sera suffisant pour décider de quitter et retrouver un peu plus de challenge égale.

Même dans une super division si c'est toujours Laval dans les top 2 sa deviendra lourd pour plusieurs et assez rapidement. Je ne bash pas le programme de Laval c'est un modèle a suivre pour rehausser le niveau du foot ailleurs. La grande question est ou est la limite? Quelques questions a se poser serait 1- Pourquoi une recrue talentueuse a de la misère a entrer partout ailleurs a cause sa cote R mais réussi plus facilement dans une institution vs les autres, 2- combien de coachs et assistants devrait être permis dans une équipe, 3- quelle rigueur de suivi académique quand a l'obtention d'un diplôme y a t-il, 4- pour ceux que l'école est un fardeau n'existe t-il pas une option plus intéressante style football junior plus compétitif, 5- limites au nombre de joueurs total sur l'équipe et liberté de transférer sans pénalité si le joueur ne fait plus partie du nombre total

C'est pas facile mais il  va falloir adresser la question compétitivité par la U car injustement Laval et possiblemen Montréal (plus faible chance) risque de se faire isolée. Peut être une avenue serait de regarder l'option de se joindre a la NCAA au niveau de la Colonial League ou clle du nord est américain.

Bequcouo de matière a réflexion

[Wildtype]

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[15 verges]

C'est bien je peux voir l'envers de l'argument.

Cheers

[Sylven]

Wildtype wrote

Je ne comprends pas ton problème avec les conférences avec un nombre impair d'équipes. Avec 9 équipes c'est parfait: saison de 8 matchs où tous les clubs se rencontrent 1 fois.

Pour les équipes de l'est de l'Ontario, je pense que c'est par rapport au recrutement. En jouant au Québec, ils pensent qu'il pourront moins recruter en Ontario et que Mtl et Lav demeureront les pôles #1 du recrutement de joueurs des CÉGEP. Aussi, Ottawa et Carleton vont se retrouver avec des joueurs un peu moins talentueux et sourtout 1-2 plus jeunes...

J'ai hâte de voir comment va se passer le recrutement de Bishop dans l'AUS. D'après moi il sera encore pire qu'il l'était déjà...

Le problème avec des nombres d'équipes impairs est la difficulté de faire un calendrier : il y a toujours une équipe qui ne joue pas à chaque semaine. Par exemple, l'an prochain dans le RSEQ, la saison devra commencer une semaine plus tôt (comme en Ontario) car il faudra 10 semaines pour jouer une saison de 8 matchs.

Bon point pour le recrutement différent de Ottawa et Carleton. On voit cependant qu'ils font un effort pour recruter de plus en plus au Québec, avec un succès mitigé mais quand même.

Je pense aussi que le recrutement de Bishop's va empirer et qu'au Québec entre autres, ils vont vraiment ramasser les restants des restants. Leur recrutement 2017 est d'ailleurs très ordinaire à date.

[Sylven]

15 verges wrote

Quelques questions a se poser serait 1- Pourquoi une recrue talentueuse a de la misère a entrer partout ailleurs a cause sa cote R mais réussi plus facilement dans une institution vs les autres, 2- combien de coachs et assistants devrait être permis dans une équipe, 3- quelle rigueur de suivi académique quand a l'obtention d'un diplôme y a t-il, 4- pour ceux que l'école est un fardeau n'existe t-il pas une option plus intéressante style football junior plus compétitif, 5- limites au nombre de joueurs total sur l'équipe et liberté de transférer sans pénalité si le joueur ne fait plus partie du nombre total

C'est pas facile mais il  va falloir adresser la question compétitivité par la U car injustement Laval et possiblemen Montréal (plus faible chance) risque de se faire isolée. Peut être une avenue serait de regarder l'option de se joindre a la NCAA au niveau de la Colonial League ou clle du nord est américain.

J'essaie de répondre tant bien que mal à tes questions :
1- Ce n'est pas plus facile de rentrer à Laval qu'ailleurs. Ça dépend des programmes évidemment mais même à McGill, il y a des tours de passe-passe pour faire rentrer des moins bons étudiants ("continuous education").
2- Limiter le nombres d'entraineurs serait la pire erreur que U Sports ou le RSEQ pourrait faire. C'est la pierre angulaire du développement des joueurs que d'avoir des entraineurs qualifiés en quantité suffisante.
3- Il y a une très grande rigueur dans le suivi académique des programmes sérieux. A Laval par exemple, il y a un entraineur responsable du suivi académique et c'est quelque chose de très important aux yeux de la direction du programme et de l'université.
4- Je n'ai rien contre le football junior mais un diplôme universitaire est un gros avantage dans la vie, plus d'étudiants-athlètes est donc un plus pour la société. C'est là un des avantages majeurs du sport scolaire.
5- Je ne suis pas contre ça quoiqu'il ne faut que chaque fin de saison devienne un cirque de transferts.
6- La NCAA division 1 n'accepte pas les programmes étrangers et je ne vois aucun intérêt à ce que le Rouge & Or transfère en division 2. Regardez ce que ça a donné avec Simon Fraser, c'est un désastre, du moins pour le football. Personnellement, j'aime moins le football américain au niveau des règlements, mais tous les goûts sont dans la nature.

[Sylven]

Wildtype wrote

Personnellement je ne crois pas qu'avoir deux divisions soit un problème. Je pense que ton opinion ne colle pas à la réalité car justement il y a des exemples de différentes divisions et cela fonctionne très bien: NCAA et CÉGEP. Pourquoi répéter que ça ne marcherait pas pour U sports alors qu'il y a des modèles juste à côté qui fonctionnent? Je comprends ton questionnement, mais pas ton raisonnement.

Très bon point. Évidemment, la concentration géographique des équipes n'est pas la même au football universitaire canadien qu'américain et collégial québécois mais, s'il reste assez d'équipes de division 2 dans chaque région pour diminuer les dépenses de voyagement, je crois que ça pourrait très bien marcher.

Peut-être que le départ des gros programmes en division 1 ferait même que d'autres universités joindraient la division 2 (pensons à l'UQTR ou à l'UQAC au Québec, je suis sûr qu'il y a des exemples similaires dans les autres provinces) car elles n'auraient alors plus besoin d'un budget d'opération annuel de 1 M$ pour être compétitives.

Chose certaine, la première étape est un interlock national et c'est déjà très difficile à mettre en place...

[Seniorgolfer]

Le cousin wrote

Pourquoi Ottawa et Carleton avaient-ils quitté le RSEQ après la saison 2000 ?

SUO a obligé ces deux équipes à revenir dans son giron. Elles étaient menacées de ne pouvoir aligner leurs autres équipes dans les différentes ligues sportives de SUO. C'est toujours l'attitude protectionnisme et conservatrice des universités ontariennes qui dicte les orientations de cette conférence.

[Seniorgolfer]

Comme vous dites avoir deux divisions supposent un nombre beaucoup plus important d'équipes dans USports, ce que on n'a pas actuellement. Il en manque une bonne dizaine pour permettre à toutes les conférences d'avoir assez d'équipes de 1ière division.

Chose certaine, la première étape est un interlock national et c'est déjà très difficile à mettre en place...

Avec le départ de Bishop"s du RSEQ, ça change la donne considérablement. Je crois donc qu'on verra d'abord des séries éliminatoires pour la Vanier à 8 équipes avant de voir un "interlock" national. Par contre, je ne serais pas du tout étonné qu'il y ait dès 2017 quelques matchs interligues entre le RSEQ et Canada-Ouest. Pas pour les autres conférences pour l'instant. Évidemment ça fait partie de mes souhaits pour 2017!

[15 verges]

Bonne discussion 👍👍

[Sylven]

Seniorgolfer wrote

Comme vous dites avoir deux divisions supposent un nombre beaucoup plus important d'équipes dans USports, ce que on n'a pas actuellement. Il en manque une bonne dizaine pour permettre à toutes les conférences d'avoir assez d'équipes de 1ière division.

Avec le départ de Bishop"s du RSEQ, ça change la donne considérablement. Je crois donc qu'on verra d'abord des séries éliminatoires pour la Vanier à 8 équipes avant de voir un "interlock" national. Par contre, je ne serais pas du tout étonné qu'il y ait dès 2017 quelques matchs interligues entre le RSEQ et Canada-Ouest. Pas pour les autres conférences pour l'instant. Évidemment ça fait partie de mes souhaits pour 2017!

La division 1 serait pancanadienne, donc seulement 2 à 4 équipes par division (sauf l'AUS) sont nécessaires. Mais ensuite, il faut qu'il en reste suffisamment en division 2 (au moins 4 par conférence). C'est là le problème selon moi : assurer la survie des conférences régionales de la division 2.

Des séries nationales élargies sont un autre gros pas dans la bonne direction et je serais très content si cela survenait en 2017. Mais pour bâtir le hype des séries, ce serait bien d'avoir plus que deux matchs compétitifs en saison régulière pour Laval et Montréal par exemple, de là la nécessité d'un interlock national. Je mise aussi sur l'Ouest, le hic est que Canwest a maintenant une équipe de plus que le RSEQ, ce qui vient compliquer la chose comme tu dis.

[Sylven]

Seniorgolfer wrote

C'est toujours l'attitude protectionnisme et conservatrice des universités ontariennes qui dicte les orientations de cette conférence.

Cette attitude est vraiment déplorable.  En plus, de ce que j'en comprends, c'est plus ou moins l'OUA qui dicte les orientations de U Sports vu son nombre important de programmes.