Les Bleus étaient définitivement la meilleure équipe sur le terrain, et ce, en dépit des nombreuses punitions.
Richard avait très peu de temps pour lancer, Caron en avait un peu plus et les tracés exploitaient les trous que Laval laisse.
Quelques échappés cruciaux, des deux côtés, qui auraient pu faire pencher la balance en donnant une bonne avance à un des deux clubs.
Les fronts ne donnaient absolument rien au sol, les plus longues courses ont eues lieu en balayage sur les flancs.
Bref, deux équipes nez-à-nez et un tout «petit quelque chose» eput signifier beaucoup.
Prompt rétablissement à Alexis.
Le plywood reste à Laval !