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Bien sûr que non. La majorité des recrutés québécois ont choisi Carleton (13), Guelph (8) et Ottawa (5). Curieusement, pas beaucoup ont penché pour Western (2).
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"A school without football is in danger of deteriorating into a medieval study hall" - Vince Lombardi |
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En réponse à ce message posté par BasRouge8
Le coach millionnaire de Guelph, n'est plus leur coach. Stu Lang a quitté à la fin de la saison 2015. Il a aussi beaucoup donné à son alma mater, qui est Queen's. Saskatchewan (David Dubé) et UBC (David Sidoo) ont aussi de riches supporteurs. Calgary est une autre équipe bien nantie dans l'Ouest quoique avec une structure de revenus très différente (faibles assistances mais beaucoup de donateurs). Certaines équipes ontariennes attirent de bonnes foules en Ontario, dont Western, Laurier, Queen's et Carleton/Ottawa avec le fameux Panda Game.
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En réponse à ce message posté par bob
Ça ce serait catastrophique car on nuirait alors vraiment au développement des joueurs et par extension du sport. Ce serait l'ultime nivellement par le bas auquel on ne doit jamais arriver. D'après toi, où prennent-ils l'argent ? Peut-être dans les 13 000-14 000 billets vendus à chaque match ?!? Bien sûr que ce n'est pas juste que Laval ait plus d'entraineurs à temps plein que disons Bishop's, mais la vie n'est pas juste Bob si tu n'avais pas encore remarqué.
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En réponse à ce message posté par BasRouge8
Saskatoon, Halifax, Guelph, Kitchener-Waterloo, Kingston, London, Sherbrooke... Plein de marchés se comparent à Québec sans être identiques.
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En réponse à ce message posté par BasRouge8
c'est pas mal ca qui est arrivé. |
En réponse à ce message posté par Bleu Poudre
Je trouvais que cette intervention méritait d'être enlevée :«Batinse que t'es hypocrite. Sorry mais j'ai pas d'autres qualificatifs pour toi, ta haine et ta satisfaction depassent tes jupons.»
Mais comme le MdM a la couenne dure...Ravi de savoir que vous veillez au grain!
Allez les Bleus!
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t'inquiète mon chère Bert, ça m'en prend plus pour me sentir insulté. ;) |
En réponse à ce message posté par BasRouge8
Un peu d'histoire pour clarifier certains points soulevés :
Au printemps 1982, alors que j'étais responsable du programme R&O, on m'annonce que le budget du programme (alors autour de 300 000 $ - et oui, seulement) sera coupé de moitié. Réfractaire à l'approche "abandon de certains sports" que certains de mes collègues des autres universités québécoises avaient choisie (plusieurs vivaient la même austérité), nous avons imaginé la formule de clubs partenaires formés d'anciens et de gens d'affaires de la région. Le concept s'inspirait du modèle européen, marié à celui nord-américain. Contrairement à nos homologues des universités Anglo-Saxonnes, à Laval, et dans les autres universités francophones, l'appui des anciens (alumni) aux universités était alors très minime. On ne pouvait donc épouser le modèle nord-américain (booster clubs) intégralement. De là cette formule hybride est née. (en passant la donne quant à l'appui des anciens a grandement changé à Mtl et Laval grâce en partie à la fierté et au sentiment d'appartenance provoqués par les succès des équipes de football). Le succès (ou les difficultés) de ce modèle tient essentiellement à la qualité du leadership des dirigeants bénévoles de chaque club. Parmi la douzaine de clubs partenaires de Laval, le niveau de santé varie. Quand Mike Labadie a lancé l'équipe à Laval il a approché feu Maurice Filion, qui lui s'est retourné vers Jacques Tanguay. Ces deux personnages très notoires dans la région de Québec ont réussi en quelques mois à mobiliser une trentaine de gens d'affaires qui se sont engagés à DONNER un minimum de 10 000 $ pendant trois ans. Le temps nécessaire pour lancer sur une bonne base le programme. Un heureux concours de circonstances a permis à l'équipe de rapidement développer un "fan base" important. Le départ des Nordiques a incité un bon nombre de ses partisans à migrer vers le R&O, en quête d'identification avec une équipe gagnante. Depuis ce lancement réussi par des gens compétents et engagés, l'équipe fait ses frais facilement avec ses revenus d'admission, de produits dérivés et des commanditaires, qui ne sont plus des mécènes. Ils sont maintenant fiers d'être associés et de profiter des retombées des succès de l'équipe. Quand Sherbrooke a voulu lancer son programme, leurs dirigeants au Service des sports sont venus à Laval pour savoir comment s'y prendre. Ils ont choisi le même modèle de club partenaire avec la communauté, mais hélas leurs bénévoles dirigeants du nouveau club n'ont pas réussi à mobiliser suffisamment les gens d'affaires et leurs anciens. Un exemple, avec celui des Carabins à l'inverse, où Manon et compagnie ont réussi, qui démontre que ce n'est pas le modèle d'organisation qui compte le plus. C'est la qualité et la compétence des gens en charge. J'anticipais malheureusement ce mouvement de contraintes à imposer aux universités qui se démarquent. Une caractéristique bien canadienne, qui est particulièrement bien ancrée en Ontario. La plupart des dirigeants de SUO voguent sur la tradition et surtout n'ont jamais été obligés de se creuser les méninges ou faire d'efforts considérables pour joindre les deux bouts. Les frais d'opération pour l'ensemble de leurs programmes interuniversitaires sont minimes, par exemple, par rapport à ceux de l'ouest canadien. Cette association (SUO) compte plusieurs universités sur un territoire plutôt restreint. Quand UBC déplace son équipe de football (et on le fait pour tous les sports) vers le Manitoba par exemple, ça lui coute d'un seul coup autant que le budget de déplacement de toute la saison d'une équipe de football de SUO. Plusieurs dirigeants des universités ontariennes cherchent d'abord à maintenir leur confort actuel et de plus, je sais d'expérience qu'ils se foutent totalement du sort du reste du pays. D'ailleurs j'ai été témoin de situations où ils menaçaient simplement de se retirer de SIC (à l'époque) si les règles n'étaient adoptées en leur faveur. Alors quand leur confort est menacé, leur créativité penche du côté des mesures à prendre pour ralentir les autres au lieu d'améliorer leur propre sort. Malheureusement comme il n'y a pas encore de masse critique d'universités comme Guelph, Western et plus récemment Carleton, la majorité des "paresseux" l'emporte quand il s'agit de développer (ou non) un sport comme le football. Sad, very sad my football friends ! |
En réponse à ce message posté par Bleu Poudre
Bon, désolé si j`ai froissés certains blogueurs avec mes commentaires en début de semaine, j`ai tout effacés.
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En réponse à ce message posté par Sylven
Donc McGill et Concordia condamné aux mieux à une 3e place n'étaient pas dans le portrait...
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En réponse à ce message posté par MdM
C'est pourquoi je parle de l'équilibre fragile entre Carabins et R&O. Pas sûr qu'un autre mécène ou une 2e don du 1er mécène est dans un futur à court et moyen terme pour les Carabins...
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En réponse à ce message posté par Seniorgolfer
Sans connaître les efforts de tous difficile de les prendre pour des paresseux! Le timing du R&O et le milieu était parfait.
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En réponse à ce message posté par BasRouge8
Aucune inquiétude pour les Carabins. Le leadership est trop solide.
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Ce message a été mis à jour le .
En réponse à ce message posté par Sylven
Guelph's coach may have been absent or abstained, because I can't imagine MacNeill would have ever voted for it. Marshall voted against the OUA uniform rule on principle. Only Guelph and Carleton were affected by the rule.
Beaucoup d'opinions sur OUA & U Sports football. Go Gryphons!
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