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Le Rouge et Or est plus glamour....seulement à Québec on s'entend, dans les 1 à 2 bars fréquentés par les joueurs. Un blouson de Laval sur la rue St-Catherine ou Crescent passe totalement inaperçu, ou au mieux passe rapidement pour un jacket de Concordia.
Et pour Bizz et Benoît qui pensent que Constantin et les autres sont dans une classe à part côté recrutement, je lui demanderais seulement de constater notre brochette de receveur. L'attrait de choisir Laval n'est pas uniquement à cause du coach. On sait tous que Glen a de fortes connaissances mais n'est pas un player's coach, la majorité des joueurs n'ont pas son numéro de cell, et côté charisme....disons que ce n'est pas sa force. Il demeure un excellent coach et recruteur bien-entendu. Mais Maciocia a vu neiger, et c'est peu connaître le football (ou être aveuglément rouge) de ne pas le considérer parmi les meilleurs au recrutement et at large. Le gap entre les Bleus et Laval se rétrécit dangereusement tant au recrutement que dans les matchs. On le sait tous, mais ça ne fait pas l'affaire de certains de par leur nervosité palpable. |
En réponse à ce message posté par Le Phénix
Pour répondre à la question, c'est volontaire. Les coachs mentionnés sont des machines à recruter depuis au moins 10 ans, et Marshall et Nill ont même démontrés leurs qualités de recruteurs à deux Universités différentes Où vont Ste-Mary's et Calgary depuis le déménagement de Nill ? Marshall a monté deux équipes très compétitive à McMaster et Western. Je n'ai rien contre Maccioca, il lui manque seulement la constance dans le temps. Pas de sa faute, ça fait peu de temps qu'il est en place.
Le plywood reste à Laval !
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T'a bien raison, Danny Maciocia manque de constance et manque de temps. Et c'est vrai que c'est pas de sa faute. Avant, il était occupé à remporter 2 Coupe Grey et à devenir le tout premier canadien à devenir entraîneur-chef dans l'histoire de la CFL.
Trouves-en donc un seul dans ta super-liste qui s'est rendu jusque là. |
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En réponse à ce message posté par Dora
Au moins 3 nouveaux noueurs de ligne offensive : Légaré, Rousseau-Saine, Constant, Quévillon et Foucault sont tous partis. Cousineau est mieux de se pratiquer à se débarrasser rapidement du ballon parce que la pression va venir vite et fort. En plus, l'attaque des Bleus ne pourra pas vraiment se fier sur la course qui risque de frapper un mur. De son côté, Richard doit minimiser les erreurs, simplement ne pas chercher à trop en faire en voulant forcer le jeu pour gagner le match à lui seul. Ce n'est qu'une recrue sans expérience universitaire et il doit le reconnaitre dans son approche malgré son talent indéniable. Je pense que les entraineurs vont le préparer en conséquence (cahier de jeux simplifié).
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"A school without football is in danger of deteriorating into a medieval study hall" - Vince Lombardi |
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En réponse à ce message posté par Dora
Bon point. Je serais curieux de savoir ce qui explique la rétention moins bonne de Sherbrooke et Montréal. Le meilleur moyen de le savoir serait de demander aux joueurs qui quittent à leur 3e, 4e ou 5e année pourquoi ils le font. Drôle d'adon que parliez de ça, il y a justement un article ce matin sur Vincent Desloges dans le Journal de Québec qui dit ne pas regretter de n'être pas resté plus longtemps au camp des RedBlacks d'Ottawa (il a quitté avant les matchs hors-concours).
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En réponse à ce message posté par Dora
Où je te donne raison c'est sur le fait que recruter des académiquement problématiques risque d'augmenter le taux de MIA.
Mais les joueurs cités ne sont pas tous académiquement problématiques.. On a demandé à A. Chabot pourquoi il abandonnait le football. Il nous a répondu qu'il préférait se consacrer entièrement à ses études (aux HEC en comptabilité) |
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En réponse à ce message posté par Bizz
L'impression que tu surestimes le pouvoir du coach et que tu sous-estimes celui du programme.
St-Mary's n'as plus de programme, c'est pourquoi Nill a quitté... |
En réponse à ce message posté par Dora
Je me permets de différer d'opinion...L'élément clé pour la prolifération de joueurs de haut niveau qui retardent leur passage chez les Pros - Plesius, AGN, Desloges - pour ne nommer que ceux-là, vient de la quasi-certitude de se rendre à la Vanier avec une très forte probabilité de la gagner, qui s'ajoute au fait de jouer dans un environnement qui a peu à envier par rapport aux équipes de la LCF.
Je pourrais même renverser l'argument: que penser de «la passion pour le sport» de joueurs qui, toutes choses étant égales par ailleurs, sont prêts à retarder leur moment de commencer les matches par rapport à ce que ce serait au sein d'une autre équipe et, une fois leur tour venu, jouer virtuellement sans opposition à l'exception de deux à trois parties par année? L'essence du sport est la compétition et l'adversité qui l'accompagne; on avouera qu'avec 65 victoires de suite à domicile, on est loin de l'adversité... |
En réponse à ce message posté par deuxfans
On ne peut reprocher à Chabot un choix ainsi justifié. Mais les choses auraient-elles pu être différentes s'il avait cru en son for intérieur avoir une réelle chance de surpasser le R & O? Peut-être pas dans son cas mais je suis certain que ça joue pour certains joueurs de toutes les équipes, sauf une, évidemment!
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En réponse à ce message posté par Bert
"L'élément clé pour la prolifération de joueurs de haut niveau qui retardent leur passage chez les Pros - Plesius, AGN, Desloges - pour ne nommer que ceux-là, vient de la quasi-certitude de se rendre à la Vanier avec une très forte probabilité de la gagner, qui s'ajoute au fait de jouer dans un environnement qui a peu à envier par rapport aux équipes de la LCF." Pour Desloges, le "retard" de passer chez les Pros est peut-être plus simple à expliquer: "Je voulais savoir si j’étais capable de jouer chez les professionnels et je pense que oui après mon expérience, même si je n’ai reçu aucun commentaire de l’équipe" Ça n'enlève rien au qualités de ce bon joueur universitaire, mais il semble clair qu'il y a un message à comprendre ici. http://www.journaldequebec.com/2014/08/18/vincent-desloges-na-aucun-regret |
En réponse à ce message posté par Bizz
Tu as totalement raison. Glen est une machine de recrutement. Mais sa vraie qualité, c'est de s'être entouré d'autres coachs qui sont tout aussi bon que lui pour attirer les jeunes. Donnons le temps au coaching staff des Carabins de s'implanter, et ils auront peut-être un résultat comparable. L'attrait de Laval est grand pour un jeune. L'Organisation est de calibre professionnelle et peut pratiquement rivaliser avec celle des Als. DF à raison, une des grandes différences entre le RetO et les autres équipes (outre le fait qu'il font souvent main basse sur tous les bons joueurs de leur région, et les meilleurs OL.... TABA"!$%"$"?%) c'est leur capacité de rétention des joueurs. Combien de fois un joueur de 4e année, recruté, a t'il décidé de revenir jouer sa 5e année à Laval? Ca fini par faire une maudite différence. Je continue à penser que l'avantage du RerO est qu'ils sont arrivé les 1er dans la ligne et qu'ils ont eu le temps de se créer un base structurelle de recrutement importante. De plus, leur arrivé à Qc a coïncidé avec le départ des Nordiques. Ils ont pu ainsi bénéficier du vide médiatique créé pour prendre une place importante dans la ville. Ils non pas volé leur succès, ils l'ont créer à coup d'opportunisme, de coïncidence et de bonnes décisions. |
En réponse à ce message posté par deuxfans
La comptabilite c'est la vie! MdM, CPA-CGA ;) |
En réponse à ce message posté par MdM
CONTENU SUPPRIMÉ
L'auteur a supprimé ce message.
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En réponse à ce message posté par MdM
TOut à fait d'accord avec toi MDM, plus de stabilité du coaching staff de bleu ne leur nuirais pas et pt plus d'implication dans les événements de type team Qc et Team Canada, sans être un expert des coachs des bleus je sais que le R et O semble s'implique pas mal. Pour connaitre certains joueurs universitaires le fait d'avoir connu un coach dans un tel événement semble les influencer..
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En réponse à ce message posté par MdM
Ben moi, si j'ai le choix entre la comptabilité et le football, je choisis le foot sans hésiter. J'espère que c'est une commandite de ta corporation.
Le plywood reste à Laval !
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En réponse à ce message posté par Le Phénix
N'importe quoi... Va relire : j'ai écris «la constance dans le temps»; vu qu'il faut tout t'expliquer, ça veut dire que Maccioca n'a pas eu le temps de prouver qu'il pouvait vraiment être constant dans le recrutement. J'ai même mentionné que c'était parce qu'il est arrivé il y a seulement quelques années. Quant aux Coupe Grey et à la CFL, ça n'a aucun, mais absolument aucun rapport avec le recrutement universitaire. D'ailleurs, si tu veux vraiment mettre des points sur les «i», Marshall s'est planté royalement dans la CFL, mais il demeure un excellent recruteur universitaire; peut-être qu'un gagnant de plusieurs Coupe Grey n'a pas l'étoffe d'un vrai recruteur universitaire.....le temps le dira.
Le plywood reste à Laval !
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En réponse à ce message posté par deuxfans
La question est : est-ce que St. Mary's n'avait plus de programme avant que Nill quitte ou après ?
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En réponse à ce message posté par Bert
Antoine Leduc vient aussi de délaisser le football pour se concentrer sur ses études.
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À la base oui, mais ils sont su capitaliser sur cette opportunité en mettant les bonnes personnes au bon endroit au bon moment ainsi qu'en faisant les choses de façon rigoureuse et novatrice.
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En réponse à ce message posté par Bizz
Le football professionnel et le football universitaire ont effectivement deux réalités très différentes.
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