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Après cette année disont désastreuse ou le manque d’expérience était en évidence est-ce le temps de penser a changer d’entraineur chef par quelqu’un plus reconnu et avec plis d’expérience. Sherby a de bons programmes académiques, bien situé et pourrait attirer de bons joueurs.
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moi je vous conseille de changer...
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En réponse à ce message posté par 15 verges
Réponse: non! Tout dépend du recrutement et ce n'est pas en repartant à zéro avec un nouvel instructeur que l'on va encourager les jeunes à choisir Sherbrooke...
Allez les Bleus!
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Administrateur
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Je crois également qu'il faut laisser sa chance à Lecompte. Ce n'est pas en changeant d'entraineur-chef à tous les ans qu'on amène la stabilité requise au programme. Comme tacticien sur le terrain, on ne peut certes pas dire qu'il tout cassé cette année mais peut-être est-il un bon recruteur en effet. Laissons-lui quelques années pour bâtir une équipe à son image et on jugera ensuite.
Je lui suggérerais cependant d'améliorer sa façon de communiquer avec les médias, genre se tourner la langue 7 fois avant de parler... Son manque d'expérience en la matière a été criant cette saison.
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"A school without football is in danger of deteriorating into a medieval study hall" - Vince Lombardi |
Je changerais les coordonateur mais pas le HV. Oui il a eu des difficulter a se faire comprendre avec les media et n’aurais pas du dire des chose mais ses des choses quil va le faire grandkre comme HC.
Defensivement, leur DC devrais ceder sa place malgré le fait que plusieur veterants etais de retour pour une derniere année la defensive n’a pas été très efficace. Son systeme a deux maraudeurs ne fonctionne pas. Leur OC n’etais pas si mal avec les QB qu’il avais a sa disposition.. Qu’en pensser vous? |
En réponse à ce message posté par Sylven
Essaie de t'informer sur le processus d'embauche qui a débouché sur le choix de l'entraîneur chef actuel. Oui c'est néfaste de changer constamment de headcoach. Mais encore plus néfaste quand tu fais un écono-choix pour les mauvaises raison$.
“ You never fail until you stop trying “
- Albert Einstein |
Administrateur
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En réponse à ce message posté par roger
Bons points. En fait, autant l'attaque que la défense de Sherbrooke était bourrée de vétérans (17 finissants !). C'est vrai que les quarts de Sherbrooke étaient moyens, mais avec la ligne offensive qu'ils avaient (4 finissants dont 2 sur l'équipe d'étoiles), il me semble que Sherbrooke aurait pu utiliser davantage son attaque au sol. Polan est également très bon, vraiment pas facile à plaquer et surprenamment rapide pour son gabarit.
Force, Travail, Fidélité
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En réponse à ce message posté par Football Mik
Tout à fait d'accord. Malgré l'annonce de la meilleure défensive au pays. Malgré qu'il pense que son équipe est compétitive juste pcq sa défensive arrête 3 series contre Laval. Malgré ses américains qui n'ont pas passé un crédit sur les bancs d'école. Malgré le financement douteux de ces deux joueurs américains. Malgré ses annonces fracassantes de nouveaux entraineurs ou joueurs qui ne se sont jamais présentés, comme Cédric Marcoux par exemple. Malgré l'embauche d'un coordonnateur offensif unilingue anglophone dans une institution francophone. Malgré son scénario très juvénile de la marche de la chaine. Malgré des résultats très ordinaires avec une des équipes les plus expérimenté de l'histoire du vert et or. Malgré que son excuse favorite est " nous avons une équipe jeune" même si il avait une des plus vielles équipes au pays. Malgré qu'il n'a pas de qualifications formelles comme entraineur. Malgré le dépôt d'un protêt ridicule dans un litige qui ne concernait pas son équipe et qui ne lui donnait aucun avantage sauf celui de faire parler de lui. Malgré une crédibilité nulle et une réputation de vendeur de balayeuse, il conservera son poste avec le Vert et Or car l'Université de Sherbrooke ne croit pas au sport interuniversitaire, elle se fout de sa réputation dans le milieu sportif et par conséquent engage ses entraineurs sur la base du plus bas soumissionnaire. Disons qu'être un joueur de haut niveau qui désire poursuivre sa carrière universitaire j'y penserais 2 fois avant de tomber pour ces promesses vides. |
Ce message a été mis à jour le .
CONTENU SUPPRIMÉ
L'auteur a supprimé ce message.
In Glen we trust.
Ramenez-nous la vraie mascotte Victor! Merci aux modérateurs de garder le Forum propre. Et pour le bien de tous: Une ligue à 2 divisions S.V.P. |
Je maintiens donc mon opinion ci-haut ! pour le bien être du V et O
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En réponse à ce message posté par Mario
Les jeunes triment fort pour en arriver à jouer au niveau universitaire. Il méritent un minimum de ressources à leur disposition.
Ton commentaire " ....engage ses entraineurs sur la base du plus bas soumissionnaire. " est triste mais vrai. Se pourrait-t-il qu'il fut embauché bénévolement?
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En réponse à ce message posté par Wildtype
Assez percutant mais combien symptomatique de la situation actuelle!!
"Football isn't a contact sport, it's a collision sport. Dancing is a contact sport." -V.Lombardi & D.Daugherty
BP Modérateur |
Intéressant de vous lire car je suis plutôt d’accord avec vos propos. Mon penchant par contre balance entre lui laisser une année de plus pour recruter et entre coupez le lien et essayer quelqu’un plus expérimenté. Je ne crois pas qu’il ait de bonne ou mauvaise réponse autre que Sherby aurait besoin d’un changement d’attitude au plus haut niveau pour redonner un peu d lustre et fièrté aux sports interuniversitaires.
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Ce message a été mis à jour le .
Juste un point de vue très personnel:
Pour un jeune joueur de football, plus il avance dans son développement (moustique, benjamin, cadet, juvénile, collégial, universitaire) plus il avance vers un statut où on s'éloigne de la participation pour rejoindre le statut de "meilleur joueur disponible que va nous faire gagner". Donc, il n'est pas rare, même au collégial de constater des joueurs voir très peu de terrain durant 3 ans de CEGEP. Au niveau universitaire, c'est encore plu prononcé. Pour chaque joueur habillé, il y en a un dans les estrades ou presque. Certains ne voient que peu ou pas de situation de match durant 4-5 ans, et c'est pire pour les équipes de têtes qui sont "pactés" de talent. C'est donc toujours "on met les meilleurs sur le terrain, ceux qui vont nous faire gagner" C'est ainsi pour tous les sports universitaires. Au niveau du coaching en football (ou n'importe quel autre sport universitaire) il doit y avoir premièrement un engagement de la direction de choisir les sports qui seront offerts par l'institution. Pour tout sport choisi, il doit y avoir un engagement pas seulement à l'offrir, mais surtout à le développer et être prêt à y investir les ressources financières et surtout, les ressources humaines nécessaires tant pour les jeunes (surtout) que pour le sport. Maintenant le coaching. On se doit, comme on s'attend des joueurs, de "mettre sur le terrain" les meilleurs coachs disponibles en fonction de leur talent à développer tant le sport, que les jeunes et leur avenir. Ce qui veut dire qu'il faut y mettre un certain prix également. Dans le cas des instructeurs en chef d'une équipe universitaire et d'un sport de haute visibilité tels le football, hockey et basketball, ce sont des choix stratégiques avec des gens qui ont habituellement une feuille de route bien remplie. Prenons le cas du hockey féminin à l'UdeM. Il suffit de jeter une coup d'oeil au profil de l'entraîneur en chef Isabelle Leclaire https://carabins.umontreal.ca/hockey-feminin/entraineurs/isabelle-leclaire/ Et surtout Danielle Sauvageau: (six Jeux Olympiques en tant qu'entraîneure-chef, première médaille d'or pour le Canada en 2002) https://carabins.umontreal.ca/hockey-feminin/entraineurs/daniele-sauvageau/ Ces sports ne sont pas aussi visible que le football pour l'UdeM, mais à quelque part, il y a eu et des budgets, et un grand soin de sélection au niveau des entraîneurs. Ils sont allé chercher les meilleures personnes disponibles. Maintenant Sherbrooke. Si on est convaincu qu'avec le budget disponible (que j'estime sous la moyenne), les candidats disponibles etc. qu'on a le meilleur entraîneur possible, ben qu'il demeure en poste. Le problème est que le coach semble travailler pour presque rien, du quasi-bénévolat, et ceci m'a été rapporté par plusieurs sources de confiance, en fait ce serait un secret de polichinelle...Si c'est le cas, et si ceci a créé un préjudice dans le choix de l'instructeur, ce sont les jeunes qui en font peut-être les frais. Et si on invoque un manque d'argent pour le football en particulier (parce que ça coûte plus chers à opérer qu'une équipe de basket de 12 joueurs, façon de parler) peut-être qu'une petite épuration, un petit ménage doit se faire à Sherbrooke pour diminuer le nombre de sports offerts, en avoir moins mais développer adéquatement ceux qu'on décide de garder. l'UdeM n'offre pas tous les sports, ni Laval ni McGill. Et certaines plus petites universités ont moins de sports mais ont du hockey masculin. Le problème à Sherbrooke est qu'ils doivent décider quels sports ils veulent vraiment appuyer et développer, et y consacrer leurs efforts, argents, et ressources humaines. Le problème est qu'ils veulent avoir une équipe de football "on the cheap" et ça paraît cruellement partout. Ça me dérange, mais j'ai comme l'impression qu'ils seront les prochains Gators, si on ne se réveille pas bientôt dans leur cas. Compliqué mais pas tant que ça.
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Administrateur
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En réponse à ce message posté par Wildtype
Il donne un grand coup en tout cas !
Force, Travail, Fidélité
"A school without football is in danger of deteriorating into a medieval study hall" - Vince Lombardi |
En effet, il n’y va pas avec le dos de la cuillère
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En réponse à ce message posté par Sylven
Sans être totalement en désaccord, il y a pas mal d'éxagération la dedans...
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Sherbrooke a besoin d'un directeur des sports (ou équivalent) qui développera et supervisera le processus de recrutement. Ils sont très mal organisés.
Pour un joueur potentiel Sherbrooke est une très belle ville étudiante et offre un très beau Campus et d'excellents programmes. Pour un joueur de Football , je crois que l'avantage est qu'il peut avoir plus de chance de voir de l'action qu'à Montréal ou Laval. Selon moi aussi le cout de la vie est moins cher. Ajoute à cela un bon coaching Staff et le V&O sera compétitif dans 2 ou 3 ans. Autres + Bonnes installations sportives Moins de 2 heures de Montréal ou Québec Les hot dogs de "Chez Louis" sont meilleurs que chez Ashton ou Belle province |
D'accord pour les programmes, campus, coût de la vie donc on peut attirer des joueurs de football.
Cependant, pour le stud, celui qui s'est démarqué au collégial et qui est focussé vers une carrière en football (et il y en a à cet âge) Sherbrooke n'a rien à offrir malheureusement. Tu peux être coaché par Maciocia et Cie, ou Constantin et Cie...c'est déjà porteur d'opportunité pour le jeune talentueux. Les études devraient primer avant tout bien-entendu, mais c'est à eux les oreilles. Pour cette raison, un cycle de 2-3 ans pour rattrapper le moindrement MTL ou Laval devrait être insuffisant sinon impossible sans ces Blue chips qui iront ailleurs.
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En réponse à ce message posté par allezlesor
Les étudiants qui vont à Sherbrooke mange de la luzerne, pas des hot-dogs.
Ils sont friands de tout ce qui «pousse légalement»...
Le plywood reste à Laval !
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