Une nouvelle étude vient d'être publiée dans le
Journal of American Medical Assocication et conclut que de jouer au football à l'adolescence (école secondaire) n'aurait pas de conséquences à long terme sur le cerveau.
Les grandes lignes de cette étude ont été rapportées dans un article du Soleil de ce matin.
Pour citer les commentaires de Pierre Frémont, chercheur en médecine à l'Université Laval et président de la Collaboration canadienne sur les commotions cérébrales (donc qui en connait un bail sur le sujet) : «C'est une étude intéressante parce qu'elle vient dédramatiser un peu ce qui est souvent véhiculé dans les médias. On entend parler d'encéphalopathie chronique traumatique, et là on pense qu'un jeune qui a eu une commotion dans son sport va faire une démence précoce. Et on se dit ensuite qu'on va lui faire faire un sport individuel sans contact, on va le faire jouer au golf. Mais finalement ça produit un décrochage du milieu sportif parce que ce n'est pas ça qui attire ces jeunes-là».
Force, Travail, Fidélité
"A school without football is in danger of deteriorating into a medieval study hall" - Vince Lombardi