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Administrateur
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Très bon article en général. Toutefois le commentaire de Glen Constantin me fait sourire à l'effet qu'il faut être créatif avec son argent. Je pense que d'autres entraîneurs penseront que plus l'argent rentre, plus on peut être créatif...La créativité à l'état brute est gratos. Mais pour t'en servir ça prend des pesos!
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La seule équipe qui aurait de bonnes raisons de se plaindre côté $$$ est Bishop's et je n'ai jamais rien trouvé en ce sens en provenance de Lennoxville.
Sherbrooke, Montréal, McGill et Concordia ont toutes des budgets leur permettant d'être compétitives; à elles de bien utilisé ces ressources. Je crois que le point du coach de McGill concernant la qualité des athlètes est le point qui fait la différence en ce moment. Donc, la question est comment attirer ces joueurs de qualité supérieure ? Le gros problème pour les Anglos est que depuis plusieurs années, ils ne sont pas en mesure d'aller chercher ces athlètes en majorité francophones; et que, depuis que l'OUA offre des bourses respectables, ils ont plus de difficultés à recruter en Ontario.
Le plywood reste à Laval !
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L'idée de limiter le nombre de recrues apparait à prime abord intéressante mais on pourra lui opposer le fait qu'on brime ainsi le libre choix du jeune au niveau sportif et/ou académique
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Administrateur
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On se disait la même chose...
Et imagine un vrai bobette Rouge (ou un plus rare Bleu) qui rêve d'aller jouer (ou peut-être simplement pratiquer comme Rudy) pour son équipe fétiche et qui est empêché à cause de quota. Faut dire qu'avec le paquet de joueurs francos talentueux qui ne voudraient/pourraient pas aller dans une université anglo, Sherbrooke en serait le premier bénéficiaire. |
Il faut comprendre qu'il s'agit ici avant tout d'étudiants et que certains programmes ne sont pas offerts partout.Il y a aussi des raisons familiales ou personnelles qui entrent en ligne de compte.On pourrait par contre permettre plus facilement les transferts sans pénalité lorsqu'un étudiant a peu joué au cours de l'année précédente. Peu importe qu'il s'agisse de parties jouées en début ou en fin de saison. D'ailleurs, cette période de transfert pourrait se faire en février pour permettre aux étudiants de s'inscrire à l'université de leur choix avant le premier mars.
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Administrateur
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Celle-là fait beaucoup de sens!
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Pas certain que cela aurait les effets escomptés.
Par exemple, Laval recrute très peu de joueurs en termes de quantité comparativement à la majorité des équipes, ils ne seraient vraiment pas les plus impactés par une limite à la quantité. Quant à la facilitation des transferts, ça va dans les 2 sens... Je m'imagine très bien des "Raymond Bourque", ayant manqué quelques parties pour blessures à leur 4ème saison disons, qui s'essayerait pour une bague en fin de carrière universitaire. |
Administrateur
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31 joueurs Laval l'an dernier.
42 Montréal 32 ConU et 40 Sherby, ce n,est pas un problème de nombre réellement. De plus, il y en a combien qui iraient à l'UdM de toute façon et qui se disent, pourquoi ne pas essayer l'équipe de foot... |
Administrateur
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En réponse à ce message posté par VM
A moins de limiter les recrues à un très petit nombre par année (genre 20), les meilleurs programmes vont juste être plus sélectifs mais ils vont quand même continuer d'attirer les meilleurs joueur collégiaux. Peut-être même davantage car ceux-ci vont percevoir qu'ils auront moins de compétition pour devenir partants à court terme. Et on ne peut quand même pas avoir deux standards dans une même ligue sur le nombre de recrues dépendamment des équipes. Pour les transferts, ça marche effectivement des deux bords. Pas sûr que les équipes plus faibles seraient gagnantes en bout de ligne. Rappelez-vous Ngoyi qui est passé près de transférer cette année mais que le règlement de "sitter out" un an a retenu à Bishop's par exemple. Ça ferait juste créer la zizanie selon moi avec un beaucoup plus grand nombre de transferts par année et on verrait beaucoup d'opportunisme apparaitre chez les joueurs. Bref, plutôt que de tailler la haie par le bas en trouvant toutes sortes de moyens pour affaiblir les meilleures équipes, je pense qu'il faut plutôt tirer le football universitaire vers le haut en augmentant le nombre de matchs interconférence en premier lieu. Personnellement, je trouve aussi l'idée des calendriers déséquilibrés intéressante. On le fait déjà pour le match interconférence contre les Maritimes, donc pourquoi pas à l'intérieur de la conférence ?
Force, Travail, Fidélité
"A school without football is in danger of deteriorating into a medieval study hall" - Vince Lombardi |
Exemple de calendrier déséquilibré
1 interlock AUS 5 match round-robin. 3 match contre ta "division" position 1-3 et 4-6 l'année précédente. Ca aiderait la premiere année oui. Prennons un exemple. Laval et Montreal finirait 7-2 Sherbrooke 5-4 McGill dans le bas du classement gagnerait le 5 match contre ses soeurs anglophones et son interlock. Ils finissent 6-3. L'an suivant McGill peut facilement finir 3-6 ou moins. Le déséquilibrer peut régler à court Terme. C'est la parité qu'il faut arriver et la seul facon c'est d'investir des $ pour rattraper Laval. Que ce soit commandite, alumni, recrutement, whatever. UdM le fait, les autres doivent le faire. Sherbrooke aussi. McGill a eu son alumni l'hiver dernier, deja des améliorations, mais ca prend 2-3 ans a paraitre. |
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