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-Constantin n`a jamais pointé directement Maciocia, seulement ceux qui chialent et jalouse le programme de Laval et si le chapeau lui fait et bien tant pis pour lui.
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En réponse à ce message posté par MdM
Je ne suis pas sûr que le Rouge & Or va les battre par 50 points. Concordia me surprend depuis le début de la saison (et par le fait même me fait très mal dans le pool !). Le Rouge & Or va sûrement les battre, probablement par 30 points, et les Carabins aussi. Mais le message de Constantin je pense derrière ça est qu'avec une bonne éthique de travail, des entraineurs dédiés et compétents, un programme en lambeaux comme Concordia l'était les années passées (0-8 en 2013) peut assez rapidement merci refaire surface. Imaginez-vous un programme de milieu de peloton qui part déjà avec une bonne base ? Et imaginez-vous Concordia dans 2-3 ans quand leur recrutement, entre autres au Québec, se sera amélioré ? Ils pourraient donc très vite redevenir une puissance du football universitaire québécois.
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"A school without football is in danger of deteriorating into a medieval study hall" - Vince Lombardi |
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En réponse à ce message posté par als4ever
J'ai déjà expliqué mon point de vue là-dessus. Il y a 128 programmes universitaires en division 1 FBS seulement. C'est évident que tu ne peux pas avoir la même domination d'une équipe dans cette ligue que dans une ligue où il y en a seulement 27. Mais il y a autant d'écart selon moi, sans suivre la NCAA de près, entre le Rouge & Or et le numéro 2 de SIC (en supposant qu'il y en ait une) qu'entre Alabama et le numéro 5 de la NCAA; autant entre le Rouge & Or et le numéro 10 de SIC qu'entre Alabama et le numéro 47 de la NCAA, et ainsi de suite.
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En réponse à ce message posté par Sylven
donc, selon cette logique, comme Bishop passe d'une fiche victorieuse à un 0-3 cette année, c'est juste des osti de paresseux qui n'ont plus voulu travailler et qui se pogne le cul au lieu de se préparer. Rien avoir avec le fait que leur budget soit de 10% celui de UL, que la moitier du club de l'an a gradué... C'est probablement le commentaire le plus condescendant qu'un coach ait dit sur les autres programme EVER. ConU va se faire LAVER comme tous les autres programmes, tant par Laval que par MTL. Oui c'est une belle surprise, mais il n'ont aucune profondeur. Zéro comme dans Ouellet! Leur seul vrai état d'arme cette année c'est d'avoir battu Sherby. Je vous rappel aussi que ConU a une scédule facile cette année. ConU est étonnant, mais on va quand même se calmé avant de nous faire croire qu'ils seront capable de tenir tête a Laval. |
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En réponse à ce message posté par deuxfans
Je me demande pourquoi Constantin a dit ça en passant. Le Rouge & Or a seulement deux recrutés à date, deux bons joueurs de ligne offensive certes, mais ça me semble un peu prématuré comme commentaire. Mais bon, ça se peut bien qu'il sache des choses qui n'ont pas été rendues publiques encore.
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En réponse à ce message posté par MdM
Et je répete que j'ai un respect ÉNORME envers Glen, mais on peut dire que sur celle la, il la échappé un mini peu. |
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En réponse à ce message posté par MdM
Bishop's ont construit un assez bon programme pour obtenir le privilège de perdre une fois par 5 ans (au sommet de leur cycle) par moins de 10 points vs Laval...
Bravo Bishop's! |
Laval, un modèle à suivre et non pas à éliminer.
Avec tous les commentaires que j’ai lus et entendus, particulièrement ces derniers jours, j’ai envie d’embarquer dans le bateau et de faire part de mon opinion en tant que fan de football universitaire Canadien. IL est clair que la remise en question doit se faire en excluant, au départ, une mise à niveau vers le bas. Pour moi c’est primordiale. On n’arrangerait pas les choses de cette façon. Nous faisons partie d’une ligue Canadienne et non pas provincial. Le but ultime est de gagner la coupe Vanier. S’il doit y avoir un ajustement, il doit se faire au niveau national et non pas provincial. De plus nous devons respecter le fait qu’il y a des universités qui n’ont pas l’intention de prioriser le programme de football comparativement à d’autres universités. Nous devons travailler avec cette permise sans affaiblir ceux qui désirent avoir un programme fort. Pour ce qui a trait de la domination de Laval et des insuccès des autres équipes à déloger le R&O de la tête dans notre division, il m’apparait clair que les efforts ne sont pas les mêmes partout, ou peut-être que les efforts sont là mais que les décisions prisent ne sont pas les bonnes. Laissez-mois vous faire un petit retour dans le passé avec programme du R&O. Lorsque Laval a décidé de faire son entrée dans le football universitaire, ils ont fait rire d’eux. « Après avoir perdu toute vos parties……… vous allez vous retirer » voilà un des commentaires entendu à l’époque. C’était mal connaitre le groupe de Québec. Rappelez-vous le football universitaires était contrôlé et dominé par des universités anglophone. Ils ne pouvaient envisager qu’un jour une université francophone pouvait dominer leur sport. La recette que le groupe de Laval a mise au point. Passion, étroite collaboration entre l’université et le groupe d’hommes d’affaires qui avait décidé de prendre les reines de ce projet, l’embauche de personnel de qualité (bon recruteur, passion du football, prêt à bien encadrer les jeunes…..). Après avoir connu des débuts très difficiles les succès ont commencé à se pointer à l’horizon et une première coupe Vanier après seulement 5 ans. Ce n’est certainement pas en demandant au CIS de limiter la force des autres universités que Laval a grimpé les échelons. Ils ont travaillé fort pour atteindre les sommets. Aujourd’hui, Laval récolte ce qu’il a semé. Bonne organisation bien rodé, bien dirigé et bien coaché (personnel stable, homogène et compétent). J’entendais un commentaire à la radio cette semaine ou on demandait au président de la RSEQ, comment il allait procéder pour faire arrêter la domination de Laval. Cette personne aurait dû poser la question suivante : Qu’est-ce que les autres équipes devraient faire pour passer à un autre niveau et atteindre celui du R&O. Tel que précisé ci-haut, ça dépend de la volonté des universités. Il y en a peut-être qui ne sont pas intéressé à prendre les moyens pour passer à un autre niveau et on doit respecter ça. Il y en a d’autre qui désire que le programme soit fort. Si tel est le cas et que rien n’est fait les dégelés vont continuer, comme partout au Canada. Par ailleurs au Québec il y a personne qui va me convaincre qu’il n’y a pas de la place pour de l’amélioration auprès des autres programmes. C’est sûr que j’ai ma propre opinion sur les insuccès des autres équipes versus Laval. Les raisons se trouvent tous sans l’équation qui a fait de Laval le programme que l’on connait aujourd’hui. « Passion, étroite collaboration entre l’université et le groupe d’hommes d’affaires qui avait décidé de prendre les reines de ce projet, l’embauche de personnel de qualité (bon recruteur, passion du football, prêt à bien encadrer les jeunes…..) et bonne entente dans l’équipe d’entraineur ». On a vue quelques solutions intéressantes. Création de deux divisions, interloc avec les clubs de l’Ontario, création de nouvelle formule pour les éliminatoires. Ce sont tous des pistes de solutions intéressantes. Maintenant, la CIS est-elle vraiment intéressé? |
Bravo J'menfootpas. Très pertinent ton commentaire. Ça change du braillage sans fin et surtout sans argumentaires interessants qu'on lit ici depuis 3 semaines. Au fait, tu résumes ton point de vue en t'appuyant sur des faits, c'est sans contredit la meilleure façon d'être cohérent et crédible.
Ma partie préférée entre autre, de ton discours, est de rappeler aux brailleurs d'ici que le football que le "problème" et les "solutions" sont à l'échelle Canadienne. Le r&o joue pour gagner la coupe Vanier dans le contexte cis. Les autres programmes ne vont pas plus loin que le désir de sortir du Qc. Le jour ou ils arreteront de penser de façon nombriliste et de se donner les moyens de reussir, ils arriveront à faire ce que le r&o a fait. En attendant, le r&o va continuer de gagner des vanier et accumuler les records. |
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En réponse à ce message posté par Sylven
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En réponse à ce message posté par Sylven
Sylven, arrête de parler de la NCAA, tu ne suis pas ça et ça parait. Tu parles comme si Alabama était la meilleure équipe de la NCAA. Pourtant... -Alabama n'a pas gagné le championnat l'an passé. Il n'a même pas fait la finale. Florida State a gagné 34-31 contre Auburn. -Alabama a terminé l'an passé avec une fiche de 11-2. Classement AP pool: 7e rang. Classement Coache's pool: 8e rang -Alabama est 3e cette année. Alabama est loin de dominer outrageusement la NCAA! Ce n'est qu'une bonne équipe parmi une dizaine d'autres. Constantin l'a échappé solide sur ça. Donc les arguments de Constantin comparant Laval à Alabama, c'est de la frime. |
En réponse à ce message posté par Phénix-2
Effectivement, le processus de financement du R&O était du jamais vu à leur arrivée dans la ligue; c'était d'ailleurs à l'origine de boutades «célèbres» genre «quand vos commanditaires partiront, vous fermerez les livres». Au grand malheur de ces détracteurs, le modèle a fonctionné. Jumelé au fait que les joueurs francophones ont «naturellement» choisi la seule équipe franco au lieu de s'éparpiller partout, ces éléments ont propulsé Laval au sommet de la ligue. Et là, tout à coup, les commentaires négatifs sur ce modèle ont afflués. La «méthode» non conventionnelle ne plaît pas à plusieur administrateurs d'Université; ils perdraient leur mainmise sur des décision mettant en avant-plan le nom de l'institution. Donc, ils continuent à «gérer» leurs équipes selon l'ancien modèle, mais un administrateur d'Université a plein d'autres choses à faire que de gérer des équipes sportives. De plus, comme il y a plusieurs sports à gérer, ils sont vite débordés. Bonne chose que Sherbrooke et Montréal aient choisis un modèle semblable, ils ont «pris» les rangs de tête dans le classement assez vite. Regardez bien Carleton dans l'OUA, qui fonctionne sur un modèle basé sur le meilleur des 2 méthodes (alumnis et commanditaires). À date, leur progression au sein de l'Ontarion est très semblable à celle que le R&O a connu dans ses premières années. En résumé, les Universités qui comprennent que la gestion de leur équipe de football doit être faite à temps plein pour aller chercher le plein potentiel d'un tel véhicule ont de l'avenir; les autres continueront de chercher des poux envers les programmes performants. Une telle vision retrograde amène les disparités qui sont à l'origine du peu d'attrait que le produit a pour un diffuseur. Si ces gens pensaient à ça, il pourrait y avoir des entrées d'argent bénéfiques pour toutes les équipes, mais ça doit trop ressembler au modèle américain pour plusieurs; pas question d'aller dans cette direction. Il est grand que la ligue (CIS) fasse quelque chose; le produit peut être extraordinaire pour les étudiants-athlètes, les institution et les spectateurs. Il faut réaliser ce potentiel, peu importe la façon.
Le plywood reste à Laval !
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Je comprends très bien tes propos Phénix, mais selon moi, l'un n'empêche pas l'autre.
Je ne dit pas d'opérer en fonction des foules et des commanditaires, mais de se servir de ces derniers pour pour aller chercher le potentiel du sport. Selon moi, la grande force du modèle de Laval ne se situe pas dans le résultat qu'il a eu à Québec. Je sais très bien que la situation est exceptionnelle et ne peut être reproduite, du moins à la même échelle, dans des endroits comme Antigonish ou Bishop's. La grande force du modèle est de laisser la gestion de l'équipe, ainsi que la recherche de financement à l'organisme sans but lucratif tout en gardant une mainmise entre le club et l'université. Ça dégage les administrateurs des institution d'une job pour laquelle ils ne sont pas qualifiés. Les reste est une question de gestion de ligue pour montrer à quel point le produit est exceptionnel. Je ne pense pas que la CIS puisse devenir un «monstre» comme la NCAA, et il serait dommage de faire passer l'étudiant en deuxième, mais, entre les deux, il existe certainement un espace qui puisse satisfaire tous les intervenants.
Le plywood reste à Laval !
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En réponse à ce message posté par MdM
Malheureusement, Bishop's est un peu dans une classe à part dans la conférence, dû à leur manque de moyens (toute petite université anglophone dans un milieu très majoritairement francophone). C'est quasi miraculeux ce qu'ils ont réussi à faire en 2013, mais les astres étaient alignés pour eux avec beaucoup de bons joueurs qui arrivaient à maturité en même temps. Ça risque d'être très dur à reproduire dans le futur. Par contre, les 4 autres universités québécoises, en particulier les trois montréalaises, ont tous les leviers requis selon moi pour développer leur propre modèle qui convient à leur réalité et être en mesure de concurrencer Laval. Bien sûr que Concordia ne pourra pas tenir tête à Laval et Montréal bien longtemps cette année. Mais ils sont sur la bonne voie pour être en mesure de le faire à relativement court terme. Comme ils l'ont déjà fait dans le passé.
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En réponse à ce message posté par Phénix-2
Excellente analyse Monsieur le Phénix, bien présentée et étayée (n'en déplaise à celui qui traite de braillards ceux qui constatent un état de fait malheureux et qui essaient de le commenter sereinement. Les insultes desservent ceux qui les profèrent, est-il besoin de le rappeler!). Il y a une équipe qui a mis en place un modèle particulier qui a réussi au-delà de toutes les attentes et elle en récolte les résultats. Mais penser que ce modèle est accessible ailleurs, qu'il suffit d'y mettre plus d'efforts, voire de le vouloir vraiment, pour se hisser au niveau du R & O, c'est de la pensée magique. Car le modèle a d'autant plus pu réussir qu'il bénéficie d'un contexte unique qui a souvent été évoqué ici, qui s'ajoute au fait que la victoire est le but absolu du programme. «Le but ultime est de gagner la coupe Vanier», a écrit «J'menfootpas». C'est justement autour de cela que l'intervention du Phénix frappe juste: ce n'est pas un principe absolu qu'un programme de sport SCOLAIRE ne doive fonctionner qu'en fonction de lla domination à tout prix...
En tout cas, on se ramasse dans une situation où les équipes ne luttent pas à armes égales et la compétition en souffre, c'est le moindre que l'on puisse dire. Et une ligue sans compétition, c'est une ligue qui perd beaucoup de son intérêt, malheureusement... |
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En réponse à ce message posté par als4ever
C'est ce que j'essaie de dire : il y a 5 fois plus d'équipes dans la NCAA divisions 1 FBS seulement que dans tout SIC. C'est donc tout à fait normal que l'écart entre les 3-4 équipes de tête soit plus faible là-bas qu'ici. Qu'Alabama soit #1, #2 ou #3 ne change strictement rien à mon point. C'est purement mathématique : l'écart entre les équipes 1 à 10 au Canada équivaut à l'écart entre les équipes 1 à 47 aux États-Unis ! Et d'après moi, bien qu'effectivement je ne suis pas la NCAA, Alabama, Florida State, Auburn ou je ne sais trop qui est #1 rosserait autant le #47 que le Rouge & Or rosse le #10. C'est donc du pareil au même si on tient compte de la mise à l'échelle requise pour comparer la NCAA à SIC. Et je ne te parle même pas de NCAA division 2 ou division 3 où il y a encore des dizaines voire des centaines de programmes. Pas besoin de t'expliquer qu'Alabama ne ferait pas juste les rosser, ce serait un massacre en règle.
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En réponse à ce message posté par Bizz
Tout à fait d'accord avec le message de Bizz.
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En réponse à ce message posté par Bizz
Ce qui nous ramène à la création d'une division 1 où toutes les équipes ayant des moyens similaires et une mentalité similaire seraient regroupées. Et les universités qui veulent mettre moins d'efforts et d'argent dans leur programme de football, c'est leur choix, ne seraient plus systématiquement déclassées.
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En réponse à ce message posté par Sylven
Je rappel a tout le monde que nous avions exactement le même discours à propos de McGill. Et où est McGill cette année? |
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